Découvrez ce petit texte qui dresse avec brio le dynamisme de l’église catholique en France au XXe siècle.
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1. Question
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À contempler la période dans son ensemble (de 1918 à 1965), ce qui frappe sans doute, c’est la vigueur et les fruits des renouveaux, qu’ils fussent thomistes ou
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des polémiques et le rejeu – la réécriture parfois – de l’histoire. Les catégories, dont l’acception est assez lâche, servent parfois de bannière ou de banderille pour apprécier à chaud l’histoire. Les exemples sont nombreux, mais un seul suffit ici pour la démonstration : « Une nouvelle invasion
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moderniste commence » aurait dit Bernanos en 1927 (…) Au seuil du xxie siècle, d’autres encore soulignent cette fois « la revanche » post mortem de Loisy, voyant dans les « nouvelles voies » de l’exégèse « définies » par les Pères conciliaires l’esprit de celui qui avait été condamné avant la Première Guerre mondiale… (Michel Florian, « Chapitre 25 – Intellectuels, théologiens et cultures catholiques françaises au xxe siècle », dans : Alain Tallon éd., Histoire du christianisme en France. Paris, Armand Colin, « U », 2014, p. 422.)
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liberté – sur le plan politique en un sens large chez Maritain, sur le plan doctrinal pour les Gilson, de Lubac ou Chenu –, s’inscrivent donc en même temps dans la longue durée de l’histoire de l’Église. Ce qui frappe également dans cette page de l’histoire culturelle du catholicisme français, c’est la violence
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patristiques. En Église, ces renouveaux devaient d’abord passer avant tout par un « retour » aux sources, exprimé notamment par de vastes entreprises de traduction :
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d’Aquin, dont la plus fameuse édition est à la Revue des Jeunes, nouvelles traductions des Pères grecs ou latins, antiques ou médiévaux dans des collections bilingues et grand public. Ces renouveaux, qui ont pour fin principale de fonder dans la fidélité au Magistère une plus grande
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nouvelles traductions de la Bible, dans le sillage du renouveau des études bibliques et œcuméniques, traduction de la liturgie latine, dès l’entre-deux-guerres par les nombreux missels, mais plus encore naturellement après la réforme liturgique conciliaire, nouvelles et abondantes traductions de saint Thomas
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